4,9 milliards d'euros. C'est le chiffre d'affaires pour la seule branche d'activité de la coiffure en 2005, avec 7 500 emplois créés entre 2000 et 2006. A l'image de cette croissance, c'est l'ensemble du secteur de la beauté qui a la forme. Ce guide dresse le portrait de dizaines de professionnels : esthéticiennes, coiffeurs, maquilleurs, créateurs de parfum, mais aussi diététiciens, éducateurs sportifs, designers de flacons, responsables marketing, ingénieurs de recherche en cosmétique... A cette diversité de métiers s'ajoute une multiplicité de lieux d'activité : instituts de beauté, salons de coiffure, parfumeries, hôpitaux, établissements de cure, clubs de vacances, plateaux de cinéma... sans parler de la possibilité de s'installer à son compte.
2 à... 14 ans d'études ! La fourchette est large, mais tout dépend du métier visé. Pour la coiffure et l'esthétique, le CAP reste la référence. Vous pouvez le compléter par un brevet professionnel, une mention complémentaire, le nouveau bac pro esthétique/cosmétique-parfumerie, un BTS (diététique par exemple). En cosmétique et parfumerie, vous avez aussi le choix du CAP au master (bac + 5), les formations ISIPCA étant très appréciées des professionnels. Et pour devenir chirurgien esthétique, il faudra pousser les études... à bac + 14 !
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