Le Rocambole propose à ses lecteurs une nouvelle ouverture à l’international. Loin de se cantonner aux limites hexagonales, où d’ailleurs le champ à défricher reste immense et insuffisamment balisé, et dans le droit fil de plusieurs de nos numéros antérieurs, autour des traductions dans l’un ou l’autre sens linguistique, notre souci est d’offrir des aperçus aussi ouverts et divers que possible, montrant l’ampleur universelle que peuvent atteindre des aspects trop négligés de nos littératures, trop vite rejetées dans des marges obscures.
Cette fois-ci, notre approche se renouvelle encore, toujours dans une perspective comparatiste sans cesse à l’œuvre, puisque nous donnons la parole à un pays, l’Italie, qui nous présente sa propre littérature populaire, qui fut et qui reste importante à bien des égards à travers son premier et plus illustre représentant, Emilio Salgari, non seulement Salgari, mais les écrivains qui se sont engouffrés dans la voie qu’il a tracée, au premier rang desquels Luigi Motta.
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