le réveil du géant latino-américain
Depuis 1941, « Le Brésil, un pays du futur », titre – énigmatique – de l’ouvrage de Stefan Zweig, est le point de départ d’études et d’essais, mais aussi de fantasmes et de railleries au sujet de ce « futur ».
Pourtant, près de trois quarts de siècle plus tard, il semble que le géant latino-américain soit enfin parvenu au seuil d’un avenir prometteur : la misère a commencé à reculer, les richesses à être (un peu) mieux partagées, et le territoire fourmille de chantiers ambitieux.
Bien sûr, il y a encore des failles, d’importants secteurs, comme la santé et l’éducation et la sécurité publique, restent à améliorer. Mais le peuple allègre, convaincu d’habiter « un pays comblé de richesses », et ses « élites » dirigeantes, longtemps recroquevillés sur leur puissance régionale de pays-continent, veulent désormais que le Brésil joue dans la cour des grands. Et pas seulement en football.
Le réveil a commencé avec la stabilisation économique, en 1994, sous la houlette du président-sociologue Fernando Henrique Cardoso, et se poursuit sous la direction d’un ancien syndicaliste de gauche, converti au discours libéral de la croissance, l’ancien « métallo » Luiz Inacio Lula da Silva. Le héros des pauvres est un président qui a déjà laissé son empreinte dans l’histoire du Brésil.
C’est ce réveil d’un «géant » qu’Annie Gasnier nous propose ici de découvrir dans ses reportages...
En poste au Brésil depuis 1993, Annie GASNIER est correspondante pour la presse française, principalement Radio France Internationale (RFI) et le journal Le Monde. Formée en droit à l’Université de Reims puis à l’École de journalisme de Strasbourg (CUEJ / 1985-87), elle a débuté à Radio France Reims et Belfort, avant d’entrer à Radio France Internationale, à la Maison de la radio à Paris. Elle sillone l’Amérique du sud depuis 1991.
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Pourtant, près de trois quarts de siècle plus tard, il semble que le géant latino-américain soit enfin parvenu au seuil d’un avenir prometteur : la misère a commencé à reculer, les richesses à être (un peu) mieux partagées, et le territoire fourmille de chantiers ambitieux.
Bien sûr, il y a encore des failles, d’importants secteurs, comme la santé et l’éducation et la sécurité publique, restent à améliorer. Mais le peuple allègre, convaincu d’habiter « un pays comblé de richesses », et ses « élites » dirigeantes, longtemps recroquevillés sur leur puissance régionale de pays-continent, veulent désormais que le Brésil joue dans la cour des grands. Et pas seulement en football.
Le réveil a commencé avec la stabilisation économique, en 1994, sous la houlette du président-sociologue Fernando Henrique Cardoso, et se poursuit sous la direction d’un ancien syndicaliste de gauche, converti au discours libéral de la croissance, l’ancien « métallo » Luiz Inacio Lula da Silva. Le héros des pauvres est un président qui a déjà laissé son empreinte dans l’histoire du Brésil.
C’est ce réveil d’un «géant » qu’Annie Gasnier nous propose ici de découvrir dans ses reportages...
En poste au Brésil depuis 1993, Annie GASNIER est correspondante pour la presse française, principalement Radio France Internationale (RFI) et le journal Le Monde. Formée en droit à l’Université de Reims puis à l’École de journalisme de Strasbourg (CUEJ / 1985-87), elle a débuté à Radio France Reims et Belfort, avant d’entrer à Radio France Internationale, à la Maison de la radio à Paris. Elle sillone l’Amérique du sud depuis 1991.
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