Le financement de l'État est à notre époque un acte d'une très grande complexité. Les besoins sont déjà immenses et ne cessent de croître année après année. Les gouvernements et les diverses administrations du secteur public doivent tirer leurs revenus d'une variété de sources dont la productivité est influencée par des facteurs en changement constant. L'équilibre budgétaire n'est jamais garanti forçant ainsi les responsables de la politique des finances publiques à des réajustements permanents. Ils sont ce Sisyphe moderne condamné à refaire les mêmes travaux et à les soumettre à des juges jamais vraiment satisfaits.
C'est cette réalité que le présent ouvrage entend illustrer en exposant les différents éléments de la mécanique du financement de l'État qui tous, à leurs manières, imposent cette remise en question perpétuelle. Il y est question des grands principes de la gouvernance des revenus publics, des principaux acteurs, des facteurs de la croissance des budgets, des politiques et des enjeux, des caractéristiques des principaux outils de financement ainsi que du comportement du contribuable. L'ouvrage traite aussi d'une question brûlante d'actualité : les jeux de hasard et d'argent comme source de revenus publics.
Le Score:
Vous aurez remarqué que la fiche de chaque livre contient un nombre baptisé SCORE.
De quoi s'agit-il?
Il s'agit d'une évaluation communautaire de chaque livre calculée sur une échelle de 0 à 100.
Cette évaluation repose sur une agrégation de diverses quantités qui reflètent la vie de chaque livre au sein de la communauté ScholarVox. Cette vie s'exprime en fréquence de lecture, nombre d'étagères publiques, privées, professorales dans lesquelles le livre est présent.
Un calcul "propriétaire" mélangeant ces quantités vous restitue sous la forme synthétique d'un Score l'intelligence collective incorporée dans chaque livre. Ce Score n'est pas une note scolaire, c'est bien plus un indicateur de l'aura collective du livre.
Car, pour paraphraser Robert Parker, expert ès-notation des vins, " ...there can never be any substitute for your own reading palate nor any better education than reading the book yourself."