Certain que les revenus du domaine familial lui assureraient une existence dénuée d’ennuis matériels, il décide, à 20 ans, de quitter l’Angleterre et de vivre à Paris. Son rêve : devenir peintre.
Mais, à fréquenter de près les Académies (Les Beaux-Arts et Jullian), les ateliers (particulièrement celui de Cabanel) et les artistes (Manet, Monet, Degas, Pissarro, Sisley, Renoir etc.), il se rend très vite compte qu’il ne le sera malheureusement jamais.
Il n’en persiste pas moins à vouloir habiter Paris, où, pendant plus de dix ans, il côtoie les plus grands écrivains d’alors (Verlaine, Mallarmé, Zola, Tourgueniev etc.)
Les souvenirs de cette période (1872-1881) sont consignés dans ces Confessions.
Mais que l’on ne s’y trompe pas, ce recueil reste une réflexion, une dénonciation et surtout une satire, plus qu’une simple contemplation ou autre introspection propre à la majorité des « Mémoires » publiées de nos jours.
« Il y a, dans les Confessions, un orgueilleux agnosticisme et un individualisme exalté propre à conduire le lecteur parmi les rochers épars autour de la grotte de Zarathustra »
G. Moore
à la deuxième édition des Confessions
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