“Il est des consultations chez le médecin qui vous abattent et d’autres qui vous requinquent. Lorsque c’est Grégor Chapelle qui tient le stéthoscope, l’effet est saisissant ! Dans ce vif essai, Grégor Chapelle nous convie à un sérieux bilan de santé du socialisme et de l’engagement progressiste, à l’usage des enthousiastes, des convaincus, mais aussi des indécis et, on peut l’espérer, d’une partie des indifférents.

Tous y trouveront une réflexion libre et politique, au sens grec du terme, autour de la question : “Comment être socialiste au XXIème siècle ?” Une réflexion qui donne envie, et l’auteur nous y invite, de s’impliquer plus avant dans les débats de la vie démocratique. Grégor Chapelle n’hésite pas à aborder les maladies du Parti socialiste, celles dont même en interne on ne parle qu’avec difficulté : les “affaires” et l’attitude défensive qui caractérise parfois le positionnement idéologique. (…)
Alors…
A ceux qui ont le socialisme en berne, l’âme découragée, la conviction qui s’étiole,
A ceux qui se sentent de gauche sans trop savoir comment,
A ceux qui s’interrogent,
A ceux qui s’inquiètent,
A ceux qui peut-être,

La lecture de l’essai vitaminé de Grégor Chapelle est hautement recommandée !”

Le Score:

Vous aurez remarqué que la fiche de chaque livre contient un nombre baptisé SCORE.

De quoi s'agit-il?

Il s'agit d'une évaluation communautaire de chaque livre calculée sur une échelle de 0 à 100.

Cette évaluation repose sur une agrégation de diverses quantités qui reflètent la vie de chaque livre au sein de la communauté ScholarVox. Cette vie s'exprime en fréquence de lecture, nombre d'étagères publiques, privées, professorales dans lesquelles le livre est présent.

Un calcul "propriétaire" mélangeant ces quantités vous restitue sous la forme synthétique d'un Score l'intelligence collective incorporée dans chaque livre. Ce Score n'est pas une note scolaire, c'est bien plus un indicateur de l'aura collective du livre.

Car, pour paraphraser Robert Parker, expert ès-notation des vins, " ...there can never be any substitute for your own reading palate nor any better education than reading the book yourself."